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Partir un Jour
12 avril 2013

Piloter un avion pour ne plus avoir peur

Peur en avion ? Plus besoin de s’affoler. J’ai découvert que l’on pouvait vaincre sa peur de l’avion – non que j’ai peur – mais l’un de mes amis avait peur – notamment en pilotant un avion. Et je ne parle pas de petit coucou, mais de piloter un gros Boeing. Bien sur cela se passe en simulateur de vol. C’est sans doute une nouvelle technique, et qui semble marcher pour lutter contre ses phobies. De nombreuses personnes ont peur en avion parce qu’elles ne comprennent pas ainsi qu’ une machine de certaines centaines de tonnes peut évoluer dans les airs sans tomber. Il est intéressant de rappeler certains principes aérodynamiques pour vous expliciter comment fonctionne un avion. Le 1er principe aérodynamique est la portance. La portance est une règle évidente, que l’on identifie aussi sur l’avion que sur les volatiles. Au fur et à mesure que l’aéronef va plus vite, l’air défilé au dessus, et en dessous de l’aile. L’air qui circule au dessus de l’aile est plus preste que l’air circulant sous celle-ci, générant de fait une dynamique de portance. La dynamique est que l’avion est alors tiré vers le ciel. L’air circule plus dynamiquement sur l’aile à cause de son allure bombée. La portance qui aspire l’aéronef vers les airs, résiste à la masse de l’avion qui le tire vers la terre. En conséquences plus la célérité est grande – plus fondamentalement plus la variation de rapidité est importante, plus la sustentation est intense, maintenant l’aéroplane en l’air. Les turbines sont ainsi considérables, puisque ce sont les propulseurs qui permettent de faire aller l’aéroplane et de générer ce phénomène de sustentation. Une autre peur courante est celle d’imaginer que si les propulsions font défaut, l’avion s’écrasera vers le bas. Il s’agit d’ une occurrence plutôt exceptionnelle, mais si l’avion ne dispose plus d’ un propulseur – notamment du fait d’un feu moteur, le moteur sera clos par le pilote, et l’aéronef maintiendra son cap avec un seul moteur, qui est notablement satisfaisant pour faire voler l’avion. Dans la possibilité encore plus rare ou les deux turbines défaillent, l’aéroplane, à cause de son design et au phénomène de sustentation, pourra voler pendant vingt minutes à peu près sur un parcours de deux cent kilomètres, deux cent cinquante kilomètres, ce qui est amplement suffisant pour choisir un lieu d’atterrissage. Sur les gros porteurs qui bénéficient de 4 moteurs, il est rarissime que tous les moteurs défaillent au même moment. Pour finir, les ailes. Divers personnes se tourmentent de remarquer que la voilure se fléchir, particulièrement quand il y a de turbulences. Les ailes sont réalisées pour s’arrondir. Si vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à découvrir quelques organismes – suivez le lien – qui organise ces stages contre la peur de l’avion sur simulateur de vol.

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